Le blog Peperuka plie mais ne rompt pas….

Je n’en crois pas mes yeux… presque trois semaines de silence… et six articles seulement (donc deux publicitaires) publiés au mois de mai dernier… et pourtant, cette absence n’est pas du à un manque d’inspiration devant la page blanche, j’ai bien cinq articles entamés en brouillon… cette absence est du à un manque de temps causé par trop de temps perdu sur les réseaux sociaux – et notre page Facebook – la journée et devant la télé le soir
 

Aussi, nous sommes au Kenya depuis tellement longtemps alors on fait souvent l’impasse sur des choses qui pourraient intéresser les nouveaux, les touristes et les curieux… Et puis, tourner le blog en un lieu plus actif avec forum, blog, bonnes adresses, etc. n’a toujours pas commencé Bref, les draculas ont besoin de sang neuf !! Intéressés ??

Et, espérons-le, une nouvelle version du blog sera prochainement en ligne – tout en ajax avec intégration de plusieurs modules Facebook, etc… – mais j’y travaille encore, entre deux autres projets web…

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Sinon, entretemps….

Notre nièce cousine je-ne-sais-pas-trop, Laura, de retour du Kenya, a mis quelques photos de notre appartement sur son blog. Cela me rappelle que l’on a toujours pas fait la visite de notre appart et que l’on devrait !!

Et à toutes les personnes qui nous proposent de venir habiter chez eux pendant les grandes vacances parce qu’on a pas de jardin pour les enfants…

Et bien, merci mais on est très bien chez nous ! 

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N’oubliez pas que vous pouvez gagner un kikoi doublé d’une serviette de Simone et Georges à 50 euros chaque avec un simple clic et email… Pour tout savoir sur le concours, c’est ici – Gagnez des serviettes plages en tissu africain (kikoi/kikoy) – et le tirage au sort prend fin très bientôt !!

Alors vite, vite !!

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Nos deux bloggeuses, Léa et Clochette – que je présentais dans ma série Blog de français vivant au Kenya ! (3) ont (ou vont bientôt) quitté le pays !!  Sniff, sniff…  Mais que deviendront leur blog respectif ? Clochette est devenue une vraie Karen Blixen, à pleurer son départ… Mais elles reviendront certainement pour voir le léopard (que l’on a vu le mois passé d’ailleurs)

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Pour les curieux, l’info gardée secrète depuis juillet 2010…

Vous ne le saviez pas mais on a participé à une interview après avoir été nommé « blog du mois » sur Expatblog.

Vous pouvez la lire bien sûr mais pas la partager 

Et, ci-dessous, un minuscule passage tiré de l’interview que je devrais accrocher en grand dans mon bureau :

Quels conseils donneriez-vous à ceux qui aimeraient vivre au Kenya ?

> TheBigBoss – S’armer de patience car l’administration kényenne est loin d’être facile mais il y a eu beaucoup de progrès ces dernières années… Enfin, garder son sang froid dans toutes les circonstances, car s’il y a bien une chose que les kényens détestent, ceux sont les insultes et les gens énervés !!

En proverbe, cela donnerait ceci:

Ne dites pas un kényen « You Moron »  mais dites plutôt « You Moran » !!

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Tiens, aujourd’hui, je me suis aggressé par un grand chokora (enfant de la rue en swahili)… Ma voiture a eu droit à deux high-kick consécutifs sur l’arrière… et puis le chokora a de nouveau couru vers la voiture pour grimper sur le toit et sauter… Du coup, j’ai accéléré direction la police mais il a sauté du toit…

C’est mieux que Matrice  ou Spiderman !

Ce n’est pas la première fois qu’il m’embête… il a déjà tapé cinq ou six fois sur la voiture et je le vois souvent sur le trottoir pointant du doigt vers moi… Alors, la police a décidé d’aller le voir pour l’intimider. Et figurez-vous qu’il m’en veut car je conduis la voiture de sa maman !! Oooohh…

Bref, les policiers et moi lui avons parlé en swahili (« Usipigiye gari yangu tena, sindyo ? ») puis les policiers m’ont dit « Va acheter un fouet et la prochaine fois qu’il t’embête, tu sors de la voiture et tu le fouettes« …. Hmmmm… Pas sûr que mon patron, Ban ki-Moon, apprécierait de voir un onusien fouetter un mendiant fou sur la route.

Et sinon, oui, j’ai peur
 

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Et on se quitte avec une réinterprétation du poème « Le chêne et le roseau« , traduit en anglais et envoyé à l’artiste Scott Blake pour gagner un de ses flipbooks sur le 9/11 … Scott est un artiste un peu déjanté au pénis géant qui propose sur son site des projets artistiques multimédia qui déjantent , des vidéos qui montrent le pouvoir des codes barres et ses flipbooks bien sûr  – j’aime le code barre Jésus aussi.

Voici une copie du texte pour que Peperuka se moque de moi 

Le Chêne et le Roseau
May 26, 2011 – Nairobi, Kenya

A free reinterpretation of Jean de LA FONTAINE’s poem – Le Chêne et le Roseau (The oak and the reed); or why small 5-floor buildings are at the end always stronger than high skyscrapers.

The Towers and the Pentagon (9/11)

A Tower one day say to the Pentagon:
« You have a good right to blame the terror of thing:
A large plane for you is a heavy weight to carry on.
The slightest crash which is wrinkling
The face of the grass you seat on
Compels you to bow your head:
While my brow, like Mount Marcy,
Not satisfied with catching the rays of the sunny,
Resists the effort of the raid.
All for you is Al Qaeda, all seems to me soft crush.
Still, if you had been born in the protection of buildings
Of which I cover the surroundings,
You would not have suffered so much:
I would defend you from the assailings.
But you come to be on most occasions
On protected areas in the united nations.
Terrorists seem to me quite unjust to you toward.
« Your compassion, answered the small Courtyard,
Arises from a kind nature; but leave off this care.
Terrorists are less fearful to me than to you.
I break and do not fall. You have until now been spare
Against their blows, as frightening as a bolt from the blue,
Stood up without collapsing your wall;
But look out for what can be ». As the Pentagon made this call,
>From the edge of the horizon furiously awakes
The most terrible of the progeny
Which the East has till then contained within its boundary.
The Towers hold up well; the Courtyard breaks.
The terrorists double their trying;
And does so well that it collapses
That, the head of which was neighbor to the breezes,
And the feet of which touched the empire of the dead missing.