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Salut à tous..
Peperuka vient de passer une semaine un peu tristoune, un peu speed, j’ai perdu mon grand-père et du coup j’ai fait un aller/retour éclair pour assister à ses funérailles… mais bon je ne m’étends pas sur ce sujet, je n’ai pas envie de plomber mon article…
J’ai apporté quelques magazines de couture de l’aéroport de Bruxelles dont des « knippie« et j’ai voulu me lancer dans la confection du jean slim que porte la fille en couverture…
sauf que… je me suis plantée dès le départ avec le montage du zip avec la braguette… j’ai passé pas mal de temps et à la fin j’ai tout balancé par pure rage…
Mais loin de me laisser vaincre, j’ai fait une petite recherche sur internet, en me disant que si je voulais dompter ce slim, il faudrait d’abord dompter la braguette (héhé, ça fait limite salace, ça, non?)
Et là je suis tombée, de site en site, sur des petits joyaux… La plupart sont en anglais (scuzez pour cela!) mais grâce à ces liens, j’ai retrouvé du coeur à l’ouvrage et je suis SUPER motivée!
Bon allez, à vous les studios:
- Des multiples techniques…
- Dont les fameux zips et même une vidéo braguette… qui m’a fait comprendre, enfin, en théorie…
- Quelques PDF bien utiles et encore… ici et ici
Voilààà, on va commencer avec ça non?
Vous verrez en cliquant sur les liens, vous trouverez encore beaucoup plus de liens moi ça me rend folle (de joie)
En tout cas, je m’entraîne, et bientôt j’espère vous montrer le magnifique slim pour Océlia
à plus les amours!
Wangechi Mutu est une artiste kényenne qui connaît désormais un certain succès sur la scène internationale. Née à Nairobi en 1972, Wangechi a quitté le Kenya en 1992 pour l’Angleterre pour y finir ses études, puis s’est installé à New York après avoir été diplômée à l’Université de Yale.
La plupart de son travail est un étrange mélange de femmes africaines autochtones et de pinups super-sexy qu’elle déforme à volonté avec des éléments collés. Wangechi veut par cela montrer la contradiction qui existe de nos jours entre la femme africaine et son identité culturelle, mettant en conflit la beauté, le consumérisme, le colonialisme, la race et le sexe.
Wangeri Mutu a déjà exposé à San Francisco, à Miami, au Tate Modern de Londres, au Centres Pompidou de Paris (c’est là que nous avons quelques-unes de ses œuvres), à New York, Dusseldorf, etc. et elle tient actuellement sa première exposition solo, intitulée « This You Call Civilization?« , à l’Art Gallery d’Ontario (lire un article de presse sur l’expo).
C’est grâce au blog d’illustrations de X-FACTOR que j’ai découvert les collages d’un artiste italien peu connu, Claudio Parentela.
Claudio est un artiste contemporain né en 1962 en Italie; il a fait de nombreuses petites expos avec d’autres artistes; mais sinon rien de grand, pas d’expos solo.
Il touche un peu à tout, il fait du collage, de la peinture, des croquis, etc. et vous pouvez visiter sa gallerie sur son site ClaudioParentela.
Ces collages sont joliment décorés…
Très noir au blanc au début avec beaucoup de coups de crayon, puis petit à petit de plus en plus colorés.
Comme d’habitude, quelques images ci-dessous et d’autres en bas de page.
Wooster Collective nous a présenté le mois dernier les collages de Michael Anderson, dont le but est de “upcycler“, c’est-à-dire de transformer et réduire la forme dégénératrice de l’art (comprendre les affiches publicitaires) en quelquechose de bien mieux.
