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La nouvelle est surprenante … … ou peut-être insignifiante car en fin de compte ce n’est juste qu’un classement (parmi des centaines) effectué par une agence de voyage alpha.

Bon, c’est vrai que l’on a l’habitude ici de changer le nom de la ville de Nairobi en Nairobbery – “robbery” voulant dire “vol” en anglais.  D’ailleurs, à l’aéroport, le captain-speaking dit “Welcome to Nairobbery.  Please fasten your wallets.” (à traduire par “Bienvenue à Nairobbery.  Veuillez bien fermer votre porte‐monnaie“)

Allez, on relaye l’info quand même (même si je n’ai toujours pas pu mettre la main sur le document original)…

Le classement des cinq destinations les plus dangereuses au monde a été réalisé par Zoover, le premier site d’avis de voyageurs indépendant en Europe, avec témoignages d’internautes à la clé…

Voici donc le palmarès peu enviable des 5 destinations à très haut risque :

1) Durban, Afrique du Sud – L’Afrique du Sud est malheureusement connue pour sa dangerosité, notamment dans la station balnéaire de Durban : “Soyez prudent, et ne montez jamais dans un taxi. Vous pourriez être attaqué, ou volé : d’ailleurs, des chauffeurs de taxis sont souvent tués dans l’attaque de leur véhicule, en particulier ceux qui conduisent des bus ou des vans !“.

2) Rio de Janeiro, Brésil – “Nous nous sommes fait braqués, à bout portant, notre argent, nos lunettes et chaussures de sports dans la banlieue d’Ipanema. La police ne nous a ni aidé à nous sentir mieux, ni plus en sécurité

3) Nairobi, Kenya – “Le Kenya et sa capitale Nairobi sont magnifiques, mais terriblement dangereux. Faites bien attention de prendre un taxi la nuit ou d’être escorté pour sortir

(suite…)

Bijoux au parfum du passé

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Collier imageJ’avais une envie de vieilloteries, et j’expérimente; je crois que je vais continuer dans cette voie là!

Même si dans quelques jours, mon congé de maternité sera fini et que je redeviendrais la “Working girl” que je suis d’habitude!

C’est drôle comment pendant les congés, on n’en fout pas une, mais dès que le spectre du retour au travail plane, on a des élans d’hypercréativité

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