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Ah bah je n’ai pas besoin d’en dire plus, tout est dans le titre !
J’ai été faire un tour au marché de seconde main, le Toi Market, et j’ai pu trouver un superbe rideau à un peu moins d’un euro…
En effet le marché du Toi équivaut plus ou moins aux Emmaüs, salles de vente, brocante et autres en Europe, et je trouve mes tissus retro et mes vêtements décalés aux marchés de seconde main…
Comme par exemple ces nappes retro…
Au fait, pour lire mes articles sur le marché de seconde main, faut cliquer sur le mot clé mitumba.
Ni d’une ni de deux, j’ai pris un modèle japonais très vintage.
Quelques coutures plus tard, une tunique vintage pour petite minette, avec l’arrière plein de petits boutons !!
Mon modèle n’avait pas envie de poser ! Et oui, je suis folle si j’aime faire des boutonnières ???
Allez, je vous laisse, je dois cuisiner!
PS. Et si vous ne savez où se trouve le Toi Market à Nairobi, rien de plus simple, visionnez-le sur notre Google Map
En 2008, dans l’article « Pour Gaëlle… MOI AUSSI…« , Peperuka s’était amusée à narguer Gaëlle – une blogueuse de Durban (Afrique du Sud), « a converse kinda girl » – avec sa collection de Converse® All Stars(TM) et s’avouait atteinte de la conversionite.
Et voilà, un an et quelques mois après, on a enfin quelques photos de ce que serait le paradis pour Peperuka !!
Cela se trouve au Toi Market (marché du Toi), un immense marché de seconde main divisé en deux parties; dans la première partie, les habits sont triés et lavés puis arrangés dans des petits kiosques et les prix sont assez chers (entre 200 et 400 Kshs pour un top, par exemple – soit 2 à 4 euros) tandis que dans la deuxième partie, on trouve essentiellement des piles géantes d’habits non triés et les prix sont très bas (entre 20 et 100 Kshs pour un top – soit 0.20 à 1 euro). Ici, les marchés d’habits de seconde main s’appellent « mitumba » !
Et ce paradis à Converse® se trouve là
Gaëlle est atteinte de la dépendance aux ‘All stars’ de Converse, et je voudrais par la présente lui témoigner toute ma compréhension (et la faire baver) avec ceci:
Ps: il manque les roses montantes d’Océlia qui les a mises pour l’école!
Alors; Gaëlle, c’est lesquelles tes préférées???
Vous aussi vous êtes atteints de la conversionite???
La semaine est vraiment passée vite malgré ce maudit temps (froid, gris et parfois pluvieux) et le fait que mon ventre grandit de jour et jour et que bébé pousse, pousse et pousse !! Et ce, grâce à la visite d’une amie mardi et jeudi dernier.
Photo prise de la gallerie de Robin Hutton sur Flickr – un florilège de photos rétro sur le Kenya.
Mais une semaine sans swap pour moi, je vais presque tous les jours à la poste mais toujours pour moi, par contre des swappettes ont reçu leur colis !!
Et la semaine alors ?
Mardi, moi et ma copine sommes allés au “Mitumba” – comprendre marché d’habits de seconde main – au Toi Market vers une l’entrée de Kibera pour lui chercher des habits… Du coup, j’ai passé deux heures au marché à fouiller dans les tas d’habits pour lui trouver des superbes habits dont un magnifique pull avec des carrés colorés et des impressions indiennes** En tout cas, c’est quand même plus sympa d’aller au marché avec une copine qu’avec un TheBigBoss peu enthousiaste !! Et le soir, j’étais épuisée !!
Alors, il faut que je vous explique, il est tout à fait possible pour nous trois de s’habiller très joliment, presque de la tête aux pieds (sous-vêtements exclus) et de façon très originale pour la modique somme de environ 5 euros pour la petite demoiselle et 10 euros par adulte (et encore, je monte un peu les prix!) grâce au marché de seconde main ou Mitumba!!!
Toute une institution, le commerce de vêtements de seconde main, ou invendus, ou encore parfois “tombés du camion”… Alors il faut que je précise que le Kenya n’est pas le paradis pour la contrefaçon bon marché de vêtements de marque (loin de là, et heureusement d’ailleurs) mais les vêtements usés ou dont l’occident ne veut plus (!) arrivent en énormes paquets d’une tonne chacun, que les marchands rachètent pour un prix dérisoire! Ensuite, les vêtements sont triés, nettoyés, réparés puis distribués dans les échoppes souvent faites de quelques bouts de bois et une bâche, et sont la joie de tout le monde au Kenya, pauvres, riches, classe moyenne, noirs, blancs, jaunes et toutes les autres couleurs, jeunes et vieux, brèf tout le monde s’y met!
